Facebooke moi l'sac, 2011, performance et installation vidéo
Une vidéo présentant en direct la navigation sur un home page Facebook est projetée sur les murs d'une pièce, en rotation, à une échelle beaucoup plus grande. Pendant que la vidéo joue, je me place devant la projection et je tente de reproduire au mur, en dessin, ce qui défile devant mes yeux. Cette action pourrait être en théorie exécutée sans arrêt jusqu’à la disparition hypothétique de Facebook, puisque de nouvelles informations, photos et commentaires apparaissent à toutes les secondes. La projection bouge et change d'angle, ainsi la pièce se retrouve à la fin de la performance pleine de bouts de Facebook (et accessoirement pleine de bouts de la vie des gens qui m'entourent) pêle-mêles. La pièce est maintenant remplie de traces physiques qui sont normalement confinées dans l'espace virtuel.
Facebooke moi l'sac, 2011, performance and video installation
A rotating video presenting a live Facebook session is projected on the walls of a room on a much larger scale. While the video is playing, I go in front of the wall and try to reproduce by drawing what I see. In theory, this action could be executed over and over again until the hypothetical disappearance of Facebook, since new inormations, photos and comments show up every seconds. The angle of the projection moves, thus the room ends up at the end of the performance being filled in with paper trail of Facebook (and incidentally filled in with footsteps of people around me). The room is now full of physical traces which are normally confined in a virtual space.
Une vidéo présentant en direct la navigation sur un home page Facebook est projetée sur les murs d'une pièce, en rotation, à une échelle beaucoup plus grande. Pendant que la vidéo joue, je me place devant la projection et je tente de reproduire au mur, en dessin, ce qui défile devant mes yeux. Cette action pourrait être en théorie exécutée sans arrêt jusqu’à la disparition hypothétique de Facebook, puisque de nouvelles informations, photos et commentaires apparaissent à toutes les secondes. La projection bouge et change d'angle, ainsi la pièce se retrouve à la fin de la performance pleine de bouts de Facebook (et accessoirement pleine de bouts de la vie des gens qui m'entourent) pêle-mêles. La pièce est maintenant remplie de traces physiques qui sont normalement confinées dans l'espace virtuel.
Facebooke moi l'sac, 2011, performance and video installation
A rotating video presenting a live Facebook session is projected on the walls of a room on a much larger scale. While the video is playing, I go in front of the wall and try to reproduce by drawing what I see. In theory, this action could be executed over and over again until the hypothetical disappearance of Facebook, since new inormations, photos and comments show up every seconds. The angle of the projection moves, thus the room ends up at the end of the performance being filled in with paper trail of Facebook (and incidentally filled in with footsteps of people around me). The room is now full of physical traces which are normally confined in a virtual space.